31 mai 2010

Ciné

C'est d'abord la superbe affiche du film The Timekeeper qui m'avait attirée. Ensuite, c'est l'histoire, qui me semblait fort intéressante:

À la mort de son père, Martin Bishop, 18 ans, est engagé dans un campement éloigné des Territoires du Nord-Ouest où les ouvriers s'affairent à terminer le chemin de fer. Ils doivent construire 52 milles de rails en 52 jours, sous les ordres d'un contremaître despotique, Fisk. À la suite d'une mésentente avec ce dernier, Martin est expulsé du camp et doit se nourrir avec les déchets laissés par les ouvriers. Avec d'autres proscrits, il va tenter de s'échapper afin d'assurer sa survie. Mais Fisk se lance à la poursuite des exilés, qui sabotent la nuit venue l'avancement des travaux. (piqué à cinoche.com)

Finalement, je ne retiendrais de ce films que les paysages. Car, malgré la présence d'éléments de base qui annonçait quelque chose de bien, on reste sur notre appétit, on a du mal à s'attacher aux personnages et la réthorique sur le bien et le mal tourne un peu à n'importe quoi. Également, malgré une belle intensité, l'interprétation reste décevante et décousue.

Ainsi, on assiste à un film moyen, certe, mais tout de même appréciable par la qualité de la présentation de ces magnifiques paysages du Nord-Ouest de la Côte-Nord!

2 commentaires:

Mike Tremblay a dit...

Ce ne sont pas des paysages du Nord-Ouest mais bien ceux de la Côte-Nord...près de Port-Cartier, ma ville natale! ;)

Très bon ce blogue en passant!

frec57 a dit...

Sérieux!!! Il faut absolument que je me déplace pour voir ça, C'est vraiment magnifique! Merci, pour l'info, je corrige à l'instant!

Merci pour le commentaire sur le blogue également!
:D